Assise sur ma chaise grise, regardant dans mon miroir, je suis seule mais pas dans mes pensées. Je laisse mes mains caresser ma peau et réveiller mon désir comme il le ferait, mes doigts me parcourent le corps, mon esprit éveille tous mes sens et j’ai envie de ressentir à nouveau ce plaisir. Je ne pense à rien d’autre alors que mon clitoris commence à palpiter et à faire mal, une sensation combinée à celle de mes lèvres qui s’humidifient lorsqu’elles gonflent et se gonflent de plaisir. Ceci est mon solo sale et méchant, mon histoire de masturbation féminine et le plaisir est tout pour moi.
Comment puis-je me permettre un tel petit plaisir, une fille sérieuse comme moi? Est-il raisonnable que je me sente si excitée pour retirer mes vêtements et sentir mon corps? Mais je n’ai jamais eu un plaisir aussi intense, comme ce matin. Avec une telle combinaison toxique de souvenirs, de luxure et de sensation physique, j’ai abandonné ce qui semblait juste et j’ai laissé mon assouvissement envahir tout mon corps avec un désir sexuel aussi fort.
Me précipitant pour me préparer avant de le rencontrer, je ne semble pas trop me concentrer sur ma tenue vestimentaire, mais plutôt sur mon magnifique collant… glissant mes mains avec précaution dans chaque jambe. Je commence à étirer la fine maille de tissu sur mes doigts délicats avant d’insérer chaque pied avec précaution, permettant à mon orteil, mon pied et ensuite ma jambe de se glisser dans la structure de mon bas fragile. Très bien, il tombe et se colle instantanément à mon corps, apportant forme et douceur à mes longs membres. Ah, j’admets que mes jambes me vont bien, j’aime sentir la texture de ma peau et voir l’effet qu’elles me donnent.
En passant ma main et mes doigts le long de ma jambe, je sens la douceur soyeuse et je prends plaisir à la sensation. C’est mon toucher, mais c’est quand même un beau contact à recevoir. Pendant que je caresse et ajuste mon collant, je me tiens et me penche devant le miroir, me redressant, ajustant et ajustant davantage encore la jambe dans les fibres délicates, tirant et caressant délicatement le long de ma jambe jusqu’à ce que l’effet soit terminé, mon collant parfaitement ajusté. En me regardant moi-même, mon esprit rit nerveusement car la prise de conscience de mon manque de sous-vêtements me permet de sentir ma peau délicate collée à mon collant. Ma main s’attarde un peu plus longtemps sur ma chatte alors que je sens la sensation m’envahir, la texture se frottant contre moi alors que je m’assieds et m’abandonne au plaisir que me procure une telle opportunité.
Sans hésiter, je pense aussitôt à lui, ma main glissant dans mon collant. Comment sa main va me toucher, comment il sait exactement où je brûlerais de plaisir, mon sentiment se gonfle alors que je commence à me contracter avec un désir accru. Je laisse mon geste se concentrer clairement sur mon clitoris. Ah la douleur, le plaisir, quand je me frotte et me doigte la chatte, sentant l’humidité commencer à monter sur mes doigts. Je pense tout le temps à lui et à la façon dont il m’aime.
En m’asseyant contre le mur, je me suis mise à penser à cette chanson, celle que j’avais entendue la dernière fois que nous avons baisé. Hmm ce plaisir intime est tout pour moi et entendre la chanson dans ma tête ne fait qu’amplifier mon fantasme. Je suis touchée à nouveau et jouis si fort sur ses doigts que mon jus coule le long de ses mains.
Tandis que le son résonne dans ma tête, mon esprit s’embrase, tous mes sens picotent et s’unissent si glorieusement. La tête en arrière, je continue de taquiner mes lèvres bouffantes et sensibles, en frottant avec une telle intention, la sensation et la passion que je crée en étant assise seule deviennent incroyablement intenses. Ma main continue mais a du mal à répondre à mes besoins. Sans réfléchir, ma réaction est juste de déchirer mes collants, je les veux loin de mon clitoris brûlant, je voulais me sentir libre d’explorer ma chatte affamée et sauvage. J’ai besoin de plus, je veux tellement plus. Il me donnera tellement plus que je sais quand je le reverrai. Avec mes collants déchirés, je peux explorer et poursuivre mon désir.
Lorsque j’ouvre les boutons de ma robe verte, elle glisse légèrement de mon épaule, exposant ainsi ma poitrine. Sa main y glissait aussi et cherchait mon mamelon pour me faire gémir. Au moment même où je pensais à cette époque, ma main toucha mon mamelon, tirant et pinçant alors que ma chatte me faisait mal après le plaisir.
Sans relâcher, je lève la jambe par-dessus le bord de la chaise et l’étend plus large pour pouvoir frotter et masser les lèvres de ma chatte surchauffée. Au début, le contact de mes doigts directement sur ma chatte est un soulagement bienvenu qui soulage rapidement le plaisir coquin. Mais la sensation continue de m’éveiller et me pousse à un autre niveau, alors que je glisse mes doigts le long de mon clitoris, les laissant pénétrer à l’intérieur, les enterrant entre mes précieuses lèvres collantes et roses. Ah, le plaisir est si délicieux, alors que le souvenir de la musique me taquine sans cesse et que je retombe dans le fauteuil, les vagues de plaisir se construisant continuellement. Je continue à glisser et à presser mes doigts le long de ma fente humide, les laissant de temps en temps les pénétrer à l’intérieur de moi.
Avec un mouvement régulier, je plonge à travers mes collants déchirés et déchiquetés dans mon corps maintenant recouvert de douleur, je prends le temps de profiter de la sensation de chaque mouvement. Mon esprit continue de divaguer et me laisse l’imaginer ici, en moi, me prenant pleinement comme il le fait, prenant de plus en plus profondément tout ce que j’ai, sa baise est implacable mais elle me pousse dans un endroit délicieux, doux, érotique. Juste au moment où il sent mes vagues de force musculaire profonde tourbillonner en moi, je sais ce qui va arriver et à quel point j’en ai envie, je n’arrête pas de battre ma chatte humide et glissante, je veux ressentir le plaisir ultime. De plus en plus je joue et taquine jusqu’à ce que ça commence. L’extase totale de ce sentiment fait son effet et je continue aussi longtemps que je peux, en luttant pour garder ma main en place et voir combien de temps ça peut durer. Je me détends et refoule mes pensées et mon corps se calme mais je peux tout de même ressentir une partie du plaisir que je viens de recevoir. Je reste assise un moment, reprenant mes esprits. Puis calmement, je relâche mon doigt, redresse mes jambes et me lève. J’ajuste ma robe verte, mais décide de garder ma magnifique lingerie déchirée. Je ne veux pas enlever les collants pour le moment, car ils ont pris part à tout ce désir et ne méritent pas encore d’être retirés. Avec ma robe effleurée, ce que nous voyons a l’air parfait et délicat. Qui saurait de toute façon ce qui se cache plus loin sous ma robe, à part moi et mon vilain petit désir.
Tandis que je réfléchissais à ces pensées, je décidais que je partirais seule mais que je lui dirai pendant notre déjeuner dans quelques heures, ce que j’ai fait avant de le rencontrer, et lui ferai découvrir les collants déchirés qui se cachent dessous. Peut-être que je pourrai prendre plaisir à sentir ses doigts exposer à nouveau mes lèvres licencieuses.
FIN